Aujourd’hui, nous terminons l’Octave de Pâques en célébrant une grande fête : la fête de la Divine Miséricorde. Cette fête a été instituée par Saint Jean Paul II pour toute l’Église en 2000, le jour de la canonisation de Sainte Faustine Kowalska (cf. photo à droite). Sainte Faustine, religieuse polonaise du début du XXe siècle, a vu Jésus lui apparaître à plusieurs reprises, reportant leurs entretiens dans son ‘Petit Journal’. L’une de ses demandes porte sur l’institution de la fête de la Miséricorde le dimanche qui suit Pâques :
« Je désire que le premier dimanche après Pâques soit la fête de la Miséricorde. (…) Je désire que la fête de la Miséricorde soit le recours et le refuge pour toutes les âmes, et surtout pour les pauvres pécheurs. En ce jour, les entrailles de ma miséricorde sont ouvertes, je déverse tout un océan de grâces sur les âmes qui s’approcheront de la source de ma miséricorde ; toute âme qui se confessera et communiera recevra le pardon complet de ses fautes et la remise de leur punition ; en ce jour sont ouvertes toutes les sources divines par lesquelles s’écoulent les grâces. » Jésus à Sainte Faustine.
Alors, aujourd’hui, nous vous proposons de méditer sur la Divine Miséricorde qui nous est offerte inconditionnellement, pour peu que nous osions nous approcher de Jésus. Pour cela, nous vous proposons de remonter le temps et de revenir juste avant la Passion, en nous posant une question : ‘Pourquoi Jésus a-t-il été crucifié?‘. Bien sûr, nous savons qu’il est mort par amour pour nous, pour nous sauver. Mais le Père Jacques, chapelain à Lourdes, nous offre un regard complémentaire et nous montre que sa condamnation à mort prononcée par les Juifs a tout à voir avec l’identité de Jésus et sa miséricorde.
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